Hamilton partage son chagrin personnel : "J'ai eu des moments difficiles à l'école".
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Lewis Hamilton a fait entendre sa voix sur un projet du HCR, l'institut des Nations Unies qui se consacre à l'amélioration de la situation des réfugiés dans le monde. Le pilote de F1 partage des souffrances personnelles de son enfance et comprend la détresse des jeunes déplacés qui n'ont pas accès à une éducation de qualité.
LeHCR défend l'éducation pour les jeunes réfugiés et un rapport sur la situation actuelle parle de plus de 10 millions d'enfants déplacés qui n'y ont pas accès. Hamilton soutient l'action du HCR et a écrit un mot de conclusion dans le rapport. Dans ce mot de conclusion, le Britannique est franc à propos de sa propre enfance. Grâce à des situations désagréables de son propre passé, il peut quelque peu imaginer la situation critique des jeunes.
Hamilton partage son histoire personnelle
Hamilton écrit que l'éducation est une clé qui peut ouvrir de nombreuses portes, mais qu'il est problématique que tout le monde n'ait pas accès à une éducation solide. Hamilton :"J'ai eu du mal à l'école, quels que soient mes efforts. C'était en partie dû au fait que je suis dyslexique. Je l'ai découvert quand j'avais 17 ans. C'est aussi dû au fait que ma confiance en moi a été entamée par les enseignants qui me disaient que je n'étais pas assez intelligent et que je n'arriverais à rien. Ils m'ont regardé, moi, mes origines et la couleur de ma peau et ont plafonné mon potentiel."
Pour Hamilton, il est important que tout le monde ait accès à une éducation solide et que chacun ait la possibilité de développer son potentiel. Hamilton conclut son message : "C'est pourquoi je suis fier d'élever ma voix sur ce projet pour donner aux réfugiés, où qu'ils soient et d'où qu'ils viennent, un accès égal à une éducation de qualité."
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